ZWELT
Rock Français Alternatif
Groupe indépendant - Avignon (84) France
La musique de ZWELT, à la fois planante et percutante, accorde des textes en Français avec une musique intense et réfléchie, naviguant entre mélodies calmes, riffs pop, et quelque louches de rock alternatif puissant dont on a plus l'habitude de trouver la trace quelque part entre Londres et Seattle.
On peut qualifier le groupe d'O.M.N.I. imaginatif, aux textes si ce n'est déjantés, en tous cas décalés mais qui restent (presque) toujours réalistes, colportant des instants d’émotions et de réflexion à qui saura pénétrer leur monde.
ZWELT est avant tout un groupe de copains, auteurs, compositeurs et interprètes. Les trois lascars n'ont aujourd'hui qu'une hâte: aller à la rencontre du public pour lui faire découvrir l'univers qu'ils proposent.
C'est qui ?
+ Dimitri Papadopoulos (guitare, chant, sons), bricoleur en chef.
A fait ses premières armes dans le groupe de pop / grunge Mi-Kei, avant de se trouver aux commandes de plusieurs autres formations éclectiques. Dim' dépose tous les ans une couronne de fleurs sur la tombe de Kurt Cobain, et une autre sur celle de Michel Jaquesonne. Tout ce que vous rêvez de faire avec une guitare, un micro et une scie sauteuse, Dimitri l'a déjà fait. Toujours partant pour une binouse, ou deux, ou pour aller jouer un peu trop fort à minuit sous votre fenêtre.
+ Pascal Vaillen (batterie, gags), philosophe.
Joue depuis des temps immémoriaux dans le groupe indépendant avignonnais , Synapses (Rock français) ; a été également aperçu dans la formation de rock'n roll psychotique Ella Speed, et dans d'autres aventures musicales improbables. Grand improvisateur devant l'éternel, amateur de musiques du monde, admirateur de la gente féminine dans son ensemble, de Noir Désir et H-F.Thiéfaine, c'est le "facteur humain" du groupe. Vous le verrez généralement entouré d'une nuée de personnages hétéroclites, sirotant divers alcools parfois frelatés.
+ Pascal Géhan (basse, paroles), être conceptuel.
Également issu de Synapses, Pascal garde de ses trop longues années d'études une dépression chronique, la manie de donner des leçons à tout un chacun, et un certain nombre d'idées retorses. Écoute du rock progressif, de la cold-wave bulgare, du proto-metal à roulettes... . Si on le laissait tout seul dans le groupe, la musique de Zwelt ressemblerait au bruit discret de chaînes qu'on agite au fond d'un couloir d'asile, ou à un concerto pour crapauds cybernétiques dans un ascenseur.